Plus d’un an déjà depuis la sympathique escale que j’ai offert à mes amis Gadzarts dans l’écrin de verdure du Jardin public de Braila au bout duquel se trouve la Maison « Panaït Istrati ». Devant le buste de l’écrivain entouré d’arbres, nous avons évoqué l’homme et l’œuvre, avant de se laisser entrainer dans le circuit de visite proposé par le fidèle custode de ce lieu de mémoire.
Zamfir BALAN, car c’est de lui dont il s’agit, nous a reçus avec une infinie courtoisie, un peu étonné quand même, qu’en cette année 2019 tant de Français prirent rendez-vous en ce lieu. Contrairement au groupe qui nous a précédé (tous amis de longue date de Panaït Istrati), très peu nombreux étaient ceux qui, parmi ceux que j’accompagnais, connaissaient le nom de ce romancier jadis à succès et encore moins étaient ceux qui pouvaient l’associer à cette Roumanie qu’ils avaient décidé de visiter. Après nos présentations, les questions fusèrent. Très vite nous avons pris conscience, Zamfir Bàlan et moi-même, combien le « cas Panait Istrati » interpelle. Parole de vieux conférencier !, il n’y a pas de satisfaction plus grande que celle de susciter le souhait d’un auditoire « d’aller plus loin », autrement dit, dépasser le cadre des discours calibrés aussi réussis soient-ils. Ainsi, nous nous sommes laissés entrainer à faire découvrir l’écrivain sensible, le révolté authentique, l’honnête socialiste…, ce Panaït Istrati qui a eu l’audace de dénoncer et le courage de ne cautionner aucun mensonge « pour la cause »… J’ai bien senti combien la personnalité d’Istrati a pu captiver, et je pense avoir compris qu’elle saura toujours séduire les entrepreneurs et chefs d’industries que j’accompagne habituellement. Suite à cette escale, certains de mes honorables « anciens » des Arts & Métiers, m’ont signalé avoir passé commande de livres chez des libraires, et j’ai pris cela non pas comme un simple retour de politesse. Me voilà un peu utile à ma chère « Association des Amis de Panaït Istrati » !
Haïdouk, on le sait pertinemment, n’a pas vocation de support publicitaire. J’aime, pourtant, signaler à ceux qui lisent ces pages, qu’à tout moment, je suis prêt à vous accompagner à la même adresse : en Roumanie, à Braila, dans le Jardin public, dans la Maison « Panaït Istrati », avant de continuer une pérégrination « istratienne » qui ne peut que ravir ceux qui s’y essayeront en choisissant pour intermédiaire Mirabilia – voyage et sens à contacter dès que vous le souhaitez https://mirabiliavoyages.com/